Betty Séré de Rivières

"Sous la mer, sous l'océan

Quand la sardine "Begin the beguine"

Ça balance, ça swingue

Y'a pas d'court-bouillon

Pas de soupe de poisson

Pas d'marmiton..."

Sous l'océan, Henri Salvador.





Ça ne tourne pas rond,

chez Coroline la petite sardine !

Elle est de forme carrée

Et ne veut pas finir en boîte

Comme ses petites copines.

Baignant dans l'huile fine





Elle sent comme anguille

Sous roche, la maline

Les cordes et filets de résille

Qui à la surface, se devinent





Elle fait sa valise un jour de bruine

Pour les îles du Frioul, avec la rascasse Blandine

Elle quitte le Vieux Port pour la Chine

Afin de ne pas finir en boîte anodine





Elle s'éloigne et admire les collines

Celles de Pagnol, qui dans le ciel, se dessinent

Sous les flots bleus, elle se dandine

Le soleil de Marseille luit sur ses écailles opalines





Elle croise Marius le Saint Pierre qui bouquine

Sur la plage de l'île d'If, les secrets de cuisine...

("La civilisation du poisson rouge?")





Elle s'aventure dans les calanques divines

Avec un rouget de bouillabaisse elle s'acoquine...





Comment cela se... termine?

En queue de poisson, ou en terrine? Je serais muet comme... une carpe!

C'est donc Coroline la sardine (et non pas la Sartine!) qui a bouché le Vieux Port... Peuchère!





Coroline, écoute moi.

La vie sous la mer

c'est mieux que sur terre...

Là haut, ils s'écaillent dans leur bocal, comme des poissons rouges!

Si j'avais eu moins de dix ans , j'aurais adoré ce livre...



La couverture est comme rembourrée - sensation identique à un édredon sous les doigts qui viennent heurter des paillettes ou des parties légérement en relief.

Les histoires sont courtes, et feront le bonheur des instants juste avant que le sommeil viennent cueillir les tous petits.



Ma première surprise a été que les 14 histoires sont illustrées par 11 illustrateurs différents ... Certaines illustrations font très "manga" (gros yeux, petit nez à la Mickael Jackson...), d'autres font plus "bébé"( de Linda Albertini ou Laure Macotta ) .

Je ne peux pas dire que j'ai aimé le graphisme, je n'ai pas été épatée . C'est ce qui compte le plus pour moi dans les albums pour enfants. J'ai trouvé qu'il n'y avait pas vraiment d'originalité, de "patte", de poésie. On ne sent pas l'illustrateur devant sa feuille de dessin, ses feutres , ses tubes de peinture ou ses encres, Impression de dessins fait à l'ordinateur pour la plupart...



Mais ce qui domine à travers toutes ces histoires , c'est la couleur.

Les couleurs qui explosent à chaque page. C'est extrêmement joyeux. Les personnages sont positifs, aucun ne fait peur ( même les araignées sont jolies ! ) . Il y a pleins d'animaux, et pleins d'objets ou de choses à commenter, à détailler.



Je ne suis plus une enfant, et si j'avais moins de dix ans, j'aurais adoré. ...



Merci aux éditions Hemma et à Babelio pour m'avoir permis de retrouver mon âme d'enfant.

Comme pour de nombreux parents j’imagine, le rituel du coucher inclut toujours une histoire (voire deux ou trois quand Choubidou tente de retarder l’heure d’éteindre la lumière, c’est à dire tout le temps…). Moment de tendresse, d’échange et de partage, c’est un instant privilégié qui nous permet d’aborder tout plein de sujets différents. En postulant pour “Mes jolies histoires du monde pour les petits” lors de la dernière opération Masse Critique Jeunesse, j’avais envie d’offrir à mon petit bout un moment de dépaysement à travers le voyage et la découverte d’autres cultures. Alors? Mission accomplie??



Et bien, de toute évidence, c’est un grand OUI! Voilà un partenariat qui tient ses promesses en nous faisant traverser les cinq continents grâce à de jolies petites histoires colorées, pleines d’humanité et de tendresse. De l’Alaska à l’Australie, en passant par la Bolivie, le Danemark, l’Angleterre, le Japon, la Russie, le Brésil, la Chine ou encore l’Inde, le recueil, composé de 24 histoires, invite l’enfant à découvrir différentes cultures et traditions.



Le format, composé de huit pages de texte et d’illustrations, est idéal pour une histoire du soir. Ni trop long, ni trop court, il offre une séquence parfaite pour une brève incursion dans l’inconnu. C’est à la fois ludique, divertissant et didactique. Mais, le plus important, c’est que ces histoires éveillent la curiosité de l’enfant!



Par ailleurs, je dois bien reconnaître que les dessins sont carrément “kawaï”! Malgré des illustrateurs variés, qui diffèrent à chaque histoire, on trouve une ligne éditoriale assez identique avec des illustrations très colorées, vives, toutes en arrondis et en courbes. C’est doux et harmonieux et ça a bien plus à Choubidou. La typo est dynamique avec des mots, voire des phrases en gras, ce qui apporte du contraste à l’image.



De plus, je découvre les éditions Hemma avec ce recueil et je dois dire qu’avec sa couverture molletonnée et son papier épais glacé, le travail d’édition est particulièrement soigné et agréable au toucher!



Seul bémol avec ce type d’ouvrage, les histoires sont toujours un peu lisses. Elles coulent mais ne s’impriment pas, faisant certes passer un bon moment, sans pour autant donner l’envie d’y revenir une deuxième fois… Mais ça reste un moment de lecture tout à fait sympathique, qui occupe pour quelques soirs!



En tout cas, je tiens à remercier vivement Babelio et les éditions Hemma pour cette jolie découverte!

La princesse Cépagrave est un joli petit livre illustré, idéal comme cadeau pour vos enfants en cette période de fête. Pourquoi?



Et bien parce que ce livre parle de la différence, de la tolérance, du respect de la nature ainsi que d’autrui et tout cela avec des mots simples et de belles images.



Une très jolie histoire à raconter et à feuilleter avec vos petits.



Moi-même qui travaille avec les enfants, j’ai pris un grand plaisir à leur faire découvrir les images de ces mignons petits animaux et à lire le message transmis. Car il n’est jamais trop tôt pour donner les bonnes valeurs à la nouvelle génération.
Lien : https://livresque78.wordpres..

Princesse Cépagrave est tombée par hasard sur notre planète. Elle rencontre Ugo l’escargot qui a honte de ses lunettes, Latulu la tortue qui n’aime pas sa bibliocarapace, Sasha le chat un peu trop gros ou encore Zazouille la grenouille qui confond les lettres. Princesse Cépagrave a besoin de chacun d’eux pour monter un beau spectacle, mais avant tout, il faut retenir trois règles : « Première règle : acceptez vos différences, vous isoler n’est pas la solution, car ça ne changera pas les choses ! Deuxième règle : apprenez à mettre en valeur vos qualités, car vous en avez tous ! Troisième règle : croire en vous, personne ne le fera à votre place ! » (p. 10) En conjuguant les talents de tout le monde, en utilisant les différences comme des forces, Princesse Cépagrave fait naître un magnifique spectacle. « C’est ainsi qu’Ugo l’escargot invente une histoire sur l’inégalité du monde, merveilleusement racontée par Latulu la tortue. Hector le castor conçoit un décor avec des matériaux de récupération dans lequel Bulle la libellule met un arc-en-ciel de couleurs. Sasha le chat jongle avec ses papillons porteurs de poésie et Zazouille chante la tolérance. » (p. 17) Quand Princesse Cépagrave rejoint sa planète, elle est heureuse d’avoir laissé un beau message d’espoir et de fraternité derrière elle.



Je vous arrête tout de suite, les cyniques ! Certes, cette histoire est simple et pleine de bons sentiments un peu caricaturaux, mais elle a le mérite d’être accessible aux jeunes lecteurs grâce à des structures répétitives qui facilitent la compréhension. Les illustrations sont très colorées et très gaies. Elles font de ce petit album un joli compagnon de lecture.

J'ai sélectionné ce livre lors de la masse critique jeunesse pour l'objet-livre. Il était indiqué "Beau livre" et en effet, il l'est ! En plus d'être ornée d'un dessin féérique et de couleurs chatoyantes, la couverture est pailletée par endroit. De quoi nous plonger tout entier dans l'univers des princesses.



Voici quatorze histoires courtes de princesses, toutes plus douces les unes que les autres avec un même schéma narratif : présentation de la situation, apparition d'une difficulté, résolution du problème par la princesse et happy end. Ces récits incitent à la bienveillance, au respect mutuel. C'est plein de bons sentiments. Quelques histoires font délicatement passer un message d'amour, de paix, de prise de conscience, d'alerte écologique. Elles sont embellies d'illustrations colorées qui apportent de la gaieté. La mise en page est vraiment très soignée.



Dans ces histoires, chaque princesse a un don. Il y a la princesse qui colore la vie, celle qui connaît le pouvoir des mots, celle qui apaise grâce à la musique...et il y a des dons loufoques aussi. Une princesse a le pouvoir de parler aux araignées...personnellement, je n'envie pas son don. Mais l'histoire a le mérite de redorer le blason de ces petites bêtes.



Comment ?! Je n'ai plus l'âge de lire des histoires de princesses ? Et pourtant, quoi de mieux en ce moment qu'une lecture qui nous fait voyager dans un univers onirique et merveilleux pour s'évader de cette actualité morose ?



Et je fais le pari que mes lycéennes (lycéens ?) l'ouvriront ou au moins l'effleureront...

J'ai adoré cet album et mes enfants aussi! Déjà, parce qu'il est en couverture souple et ça, les enfants apprécient beaucoup car il peut se porter facilement sans être trop lourd ; il est également plus agréable dans les mains.



Ensuite, les dessins sont d'une simplicité épatante et l'enfant comprend de suite de quoi ça parle. C'est coloré, simple et amusant. Le texte, quant à lui, est parfois un petit peu trop "compliqué" pour les petits mais à partir de 5-6 ans, ils intègrent mieux l'histoire et son sens. Pour les moins de 6 ans, il faut parfois expliquer avec d'autres mots mais c'est très compréhensible tout de même.



On parle de tolérance, un mot très important qu'il faut connaitre dès le plus jeune âge et qu'il est important d'intégrer dans nos comportements. Tout est bien expliqué, chaque animal rencontré par la Princesse ayant un petit quelque chose de différent que les autres qui parfois, peu gêner ou même être moqué. Mais leur différence est une force! La Princesse est là pour leur expliquer comment.



Une fin très sympa, une morale comme dans les fables de La Fontaine.
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Grâce aux éditions Voyageur et leurs livres du même nom, puisqu’il est venu se promener en Bretagne afin que mes filles et moi puissions le découvrir pour repartir une fois notre lecture effectuée vers d’autres cieux et d’autres yeux émerveillés.

Ce concept est nouveau pour moi et assez sympathique même si les enfants ont du mal à devoir rendre un livre qui leur a plu. Car ils aiment les lire plusieurs fois à plusieurs périodes, c’est donc un points négatifs pour eux mais en même temps ils profitent ainsi vraiment de leur livre. Je leur ai donc expliqué qu’il s’agissait d’un prêt comme à la bibliothèque et cela les a rassurées.



Voici donc pour débuter l’avis enfantin et peut être un peu spoileur de mes mini-chroniqueuses :

« coucou les filles, alors qu’avez-vous pensé de ce nouveau petit livre ?

- C'est plein d'animaux tout rigolos qui ont tous un moment où ils sont tristes. On dirait qu'ils attendent tous quelque chose. Mais en tout cas les dessins sont super jolis, tous plein de couleurs.

Tous les personnages font des choses importantes mais différentes du coup les autres les aiment pas.



Le castor il ramasse les ordures pour pas que les poissons meurent dans la rivière. C’est un bon castor, ls autres devraient faire pareil pour sauver les poissons.



La tortue, elle, elle aime lire et elle saura bien lire si elle lit tous ces livres dans sa bibliothèque. Elle va comme ça apprendre aux copains que c'est bien d'apprendre à lire pour savoir ce qu'il y a dedans.



Le chat est triste parce qu'il préfère les jolies choses à la chasse aux souris.



Et la grenouille est triste parce qu'elle est trop lente à faire son travail et du coup c'est la dernière tout le temps.



La libellule peut plus faire de magie en laissant des traces derrière elle comme les avions mais c'est pas de la fumée.



La princesse est super parce qu'elle leur explique que c'est pas grave d'être différent, qu'on a tous un truc super mais faut juste le trouver.

Et tous les animaux font des trucs super comme apprendre à lire, chanter, sauver les poissons...

Ils ont tous leur truc super et c'est pour qu'ils le sachent aussi qu'ils vont faire un spectacle avec la princesse. Pour que les autres le sachent aussi. Parce que c’est bien d’être comme tout le monde mais pas bizarre d’être différent. Faut juste que les autres nous embêtent pas.

Mais je préfère quand même être comme les autres pour pas qu’on m’embête même si moi j’embête pas les autres.

À la fin tous les animaux sont heureux parce que la princesse leur à fait plein de compliments sur les choses qu'ils savaient faire. Moi aussi je voudrais bien rencontrer la princesse, elle est jolie et elle dit des choses gentilles aux animaux tristes. Si j’étais triste j’aimerais une princesse aussi pour me dire des choses gentilles même si y’a maman, mais maman c’est pas pareil, c’est une maman. »



Bon sur le dernier point je ne peux dire grand-chose, mais je l’avoue j’ai été jalouse 2 millisecondes :p



En ce qui concerne mon avis d’adulte lecteur de l’histoire, je dois dire que j’ai trouvé ce petit album très au goût du jour. Il nous parle des différences, d’écologie, de recyclage et de la peine que peuvent faire des paroles ou des gestes de rejet envers ceux qui se sentent et sont différents, tant par leur physique (telle la libellule ou le chat) que par leur manière d’être (l’escargot ou la tortue) ou par leur choix de leur vie (le castor).

Les dessins sont aussi très bien faits avec leurs traits doux et lisses et leurs couleurs chatoyantes qui attirent de suite les yeux de l’enfant. On retrouve dans les illustrations Philippe Wolff, l'auteur de la série Elémi qui m'avait déjà bluffé par ses décors en pâte à modeler et qui réitère ma satisfaction ici avec ses dessins agréables et ronds, que les enfants ne peuvent qu'adorés.



L’ensemble des deux permet une bonne mise en situation de l’enfant et ainsi un échange entre le conteur et le petit lecteur. Mes filles m’ont ainsi surprise par leurs avis sur le recyclage et l’écologie, la lecture et son intérêt dans la vie (même si j’essaie de le leur inculquer c’est agréable de voir qu’elles ont compris par elle-même que ce n’est pas un défaut d’aimer lire).

L'écriture est facile à lire même pour un lecteur débutant et la conception de la princesse de nous apprendre de nouveaux mots au travers des qualités à reconnaître des personnages est un plus aussi pour les petits lecteurs.

C'est donc une lecture tout à fait adapté et instructive pour nos chères têtes blondes, de part les nouvelles connaissances de vocabulaire mais aussi de leçons de vie que cela entraîne.

Un très bel album à s'offrir ou à offrir pour le plus grand plaisir de tous.

Petit bijou d'humanité et de fraîcheur pour aborder le thème ô combien important de la différence et du sentiment de solitude qu'elle peut induire. L'auteur n'a pas son pareil pour expliquer simplement en quelques pages magnifiquement illustrées qu'elle est au contraire à l'origine d' une grande richesse dans nos échanges pour bien vivre ensemble. Les petits comme les grands apprécient...A mettre d'urgence entre toutes les mains!

Coroline est une petite sardine qui prenant conscience qu’elle vit dans un endroit dangereux décide de partir. Il faut voyager pour fuir le risque de finir en conserve mais très vite la nostalgie de son port de Marseille l’assaille et les questions sur son avenir s’imposent. Nostalgie, attachement, danger et survie que de conflits pour choisir son avenir. Le texte est beau, doux, poétique et avec une belle réflexion. C'est une histoire pour petit qui permet de mettre en évidence la difficulté de quitter l’endroit où l’on a grandit mais sa nécessité qui peut se montrer. Entre la belle découverte de Marseille et la présentation des problématiques de l’émigration/immigraton, cette petite sardine permet d’appréhender dès le plus jeune âge des choses complexes.

Comme pour La petites étoile qui voulait voir les couleurs, mes nièces ont accroché à l’histoire et aux illustrations et l'adulte que je suis est conquise. Les dessins très colorés avec un aspect pastel gras/crayola sont très mignons et adaptés aux petits qui reconnaissent un médium qu'ils utilisent. Hate de pouvoir leur remettre en main propre l’exemplaire papier.

très beau livre sur l'acceptation de la différence, illustration très esthétique et coloré. Les enfants adorent

Si vous avez des enfants, ce livre est clairement fait pour vous. Les illustrations sont bien réalisées, elles devraient susciter l'intérêt des filles et des garçons. J'aime beaucoup la couverture qui est douce, brillance et comme moelleuse.



Vous trouverez plusieurs histoires avec à chaque fois des personnages et surtout des animaux. J'ai beaucoup aimé celle de la noisette avec le renard.
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Ma fille Louisa a adoré cette lecture, c'est une série qu'elle suit de près, avec à chaque fois un sujet différent et intéressant.

Cette collection est vraiment très sympa et bien faite! Après avoir lu "Princesse Cépagrave" où nous faisons la connaissance d'une princesse pas comme les autres qui vit dans un monde parfait, dans un monde où la différence est une force, où il fait bon vivre avec les autres, même si ils sont différents de nous, nous avons découvert "Princesse Cépagrave et Soly le jongleur de lettres", une histoire passionnante où nous avons rencontré un petit garçon qui était dyslexique. Dans ce nouveau numéro (qui est en fait le deuxième), nous faisons la connaissance de Signabell, un petit garçon qui est sourd et muet et qui communique grâce à la langue des signes.



J'ai vraiment trouvé cet album super! En effet, Signabell et Princesse Cépagrave nous apprennent quelques mots en langage des signes, il y a même une petite comptine que nous avons pu reproduire avec mon fils. Il a adoré la chanter avec ses mains! L'histoire est intéressante, les signes sont bien expliqués et les illustrations sont colorées, vraiment agréables pour les yeux des petits comme des grands.



Le sujet de ces albums est très important de nos jours, car la différence est de plus en plus présente dans notre société et il est important de faire comprendre aux enfants, dès leur plus jeune âge, qu'être différent ne veut pas dire nul ou sans intérêt. Dans toute différence, il y a de belles choses à apprendre. Ici, le langage des signes peut devenir un jeu pour les enfants et leur apprendre cette langue pourrait leur permettre de communiquer un jour peut-être, avec une autre personne.



Merci à Princesse Cépagrave et à son créateur pour ces bons moments! En espérant découvrir d'autres différences très vite!
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Je remercie VOYAGEUR Edition pour l’emploi de ce service presse pour la section jeunesse de mon blog.



La princesse à remporté un vif succès, de par ses cheveux roses mais aussi pour sa propension à adopté « l’orphelin » en transformant les défauts en quelque chose de bien en don qui rend la personne (l’animal dans le livre) unique et humaine.



Personnellement, contrairement aux enfants, j’ai trouvé le format A5, un peu difficile mais comme c’est un livre pour eux, s’ils sont contents, c’est l’essentiel. La couverture et les pages plastifiées sont un plus pour les petits doigts pas toujours propres.



Le résumé est simple, il n’en dévoile pas trop mais rend l’essentiel du livre.



En plus de la morale de la fin qui apprend aux enfants qu’être différent c’est bien, j’ai bien aimé les petits messages pour chaque animal (surtout l’écologie) et Ambre s’est reconnue dans la tortue.



L’écriture est simple avec des mots facile à comprendre pour les enfants et ponctuée de rime, ce qui permet à l’enfant de retenir facilement les noms des nouveaux amis de la princesse.



Même si la princesse est l’héroïne, elle ne tire pas la couverture à elle et partage la vedette avec ses amis, ce qui est très bien et donne aussi une petite leçon aux enfants.



En résumé, un petit livre très sympa avec d’énormes valeurs morales, de beaux dessins et un texte très sympa surtout les trois règles.











Ambre 7 ans Le livre parle de princesse Cépagrave. Elle va sur d’autres planètes. En ce moment elle est chez nous. Elle demandait de l'aide à ses amis Sascha le chat, Ugo l'escargot, Sacha le chat (On avait cru comprendre..), et à la tortue et la grenouille…



J’aime bien la couverture parce qu'elle est simple et sublime



Comment as-tu trouvé les personnages sont très bien

Mon préféré c’est le castor, euh non le chat je veux dire, parce que j'aime bien les chats.



les dessins sont très beaux



Note 10 sur 10











Aleksander 5 ans : C’est l’histoire d'une princesse qui s’appelle cépagrave, de l'escargot et de la tortue.



J’aime la couverture et le format du livre.





Mon moment préféré c'est quand ils faisaient le spectacle.



Mais par contre, j’ai pas aimé quand l'escargot et les autres se faisaient rejeter…



Mon personnage préféré c'est le chat parce que j'aime bien quand il jongle avec les papillons.



Je n’aime pas trop l’escargot par contre.



Mais les dessins j'aime bien



La morale de l'histoire que c'est pas grave que vous êtes différents.



Note 10 sur 10.


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Quel plaisir de retrouver Carlton et ses amis pour une seconde enquête au coeur de la cité londonienne !  Une énigme insolite, car il s'agit de puanteur. La ville aurait-elle un problème d'écoulement d'eau ? Et quelle est cette étrange maladie qui semble se répandre ?

Ce tome 2 du raton détective est le fruit d'une écriture à quatre mains. Pierre Gaulon et Betty Séré de Rivières ont imaginé cette histoire, illustrée par Adeline Kemp. L'ambiance britannique se retrouve à chaque page, dans de multiples expressions. Et tout comme dans Panique sur la Tamise, un lexique est présent à la fin du livre pour expliquer quelques mots, expressions et contexte historique.

Plongez dans l'Angleterre victorienne grâce à Carlton Heston, c'est un délice en tout point égal à sa boisson préférée : le thé aux fruits rouges.
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On peut tous un jour ou l’autre être rejeté ou montré du doigt pour une différence …

C’est le cas pour d’Ugo l’escargot – avec ses lunettes rouges, de Latulu la tortue – bouquinovore immodérée ou encore d’Hector, le castor 100% récup’.

L’auteur fait intervenir une princesse aux cheveux roses dans ce monde d’injustices, elle réunit les laissés pour compte et les motive avec une règle toute simple qui est de mettre en valeur les qualités de chacun. La diversité doit être une richesse et non un handicap.



Dans cet album destiné aux 3/6 ans, Betty Séré de Rivières évoque la tolérance et le respect des êtres et de la nature. Des thèmes d’une importance cruciale dans notre société actuelle.

Les illustrations, douces et colorées, sont signées Philippe Wolff (auteur de la série Élémi).



Cette Princesse Cépagrave confirme, sans utopie, notre envie profonde d’un monde meilleur.

C’est un livre sensible, frais et optimiste !
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Ce recueil d’histoires courtes pour petits loulous est un petit régal visuel. Composé de vingt-quatre historiettes, il nous emmène aux quatre coins du globe mais aussi:



1) Il délivre des jolis messages de tolérance. Je pense notamment à l’histoire sur la maison du bonheur. Celle-ci est adorable et m’a beaucoup fait sourire.



2) C’est une invitation à s’ouvrir aux différentes cultures de notre monde. En nous montrant comment vivent certaines populations ou comment sont perçus certains animaux, les histoires étendent l’horizon de nos esprits.



3) Quelquefois, des expressions ou mots sont écrits en gras. J’en ai déduit qu’ils avaient une vocation éducative. Par exemple, ils montrent le quotidien d’une famille inuite ou bien d’une population indienne… Ils peuvent également décrire des bases pour connaître certains pays comme la France avec sa tour Eiffel, ou les traditions culinaires de la Pologne.



4) Les images et les anecdotes racontées nous permettent de nous projeter dans les histoires. On voyage avec les héros de celles-ci et on revient avec des étoiles plein les yeux, émerveillés comme des enfants.



Au final, ce format est parfait pour être lu et relu, pour être entendu et compris à l’infini car les messages véhiculés par les différentes histoires peuvent être compris à tous les niveaux. Quel régal cela est pour moi de partager cela avec mon loulou! Je suis ravie!
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Des histoires toujours amusantes et ludiques qui nos apprennent à chaque fois des tas de choses sur le monde qui nous entoure. Et cette fois-ci, c'est le thème de la liberté qui est évoqué dans cette sympathique histoire. Eh oui, la liberté des animaux! Le thème est d'ailleurs largement d'actualité notamment avec les questions sur les cirques et les animaux gardés en cage et "forcés" à travailler pour les artistes de ce milieu. Et bien sûr, comme à chaque nouvel opus, nous parlons également de la différence...



Ici, le zèbre, qui est bien différent des autres animaux de la savane avec qui il vit, se retrouve avec Princesse Cépagrave à discuter de son hypersensibilité et de sa différence qui le gène énormément au quotidien. Ces petits "défauts" permettent aux lecteurs de s’identifier à lui et aux autres compagnons de la princesse qui eux aussi, ont un "côté différent". Et la princesse est là pour leur prouver que ce différent peut être une vraie richesse! Cépagrave essaie tant bien que mal de leur ouvrir les yeux sur cela justement.



Et c'est ce que l'auteur, à travers cette gentille princesse, souhaite faire passer comme message à tous les lecteurs : nous sommes tous différents les uns des autres mais ce ne sont que des qualités qu'il faut développer justement!



Les illustrations sont plutôt simples mais tellement colorées qu'elles mettent des étoiles dans les yeux des plus petits qui écoutent l'histoire. Quant aux plus grands qui peuvent découvrir l'album seuls, ils comprennent facilement grâce aux mots simples de compréhension adaptés aux plus jeunes lecteurs.



J'aime beaucoup cette petite série d'albums que je lis régulièrement aux enfants qui sont à la maison (entre 3 et 10 ans). Ils ont tous leur façon à eux de voir et comprendre les histoires mais finalement, ça nous permet à chaque fois de parler de la différence de l'un ou de l'autre. Une magnifique collection à découvrir!
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Princesse Cépagrave et Elias un drôle de zèbre est un album jeunesse annoncé pour un public 4 ans et plus. C’est l’histoire Elias un zèbre qui a fuit car il était différent. Il rencontre la princesse Cépagrave et ses amis qui vont lui faire reprendre confiance en lui. Ici l’histoire est plus un prétexte pour expliquer et rassurer autour d’une différence qu’une réelle aventure avec des personnages diversifiés. On est à mi-chemin entre le documentaire et le développement personnel pour les plus petits. Dans cet album, les spécificités de douance vont être mis en avant et valoriser pour que ce qui peut être vécu comme un handicap soit transformer en point fort. Les dessins très colorés et pop sont vraiment agréables. J’ai eu un petit coup de coeur pour une tortue bibliothèque mais les autres protagonistes sont tout aussi fun. Les informations sur la douance (haut potentiel) sont correctes et bien expliquées. Le leitmotiv autour de l’acceptation de soi et de la valorisation de la différence fonctionne. Je suis néanmoins un petit peu perplexe au sujet de l’âge proposé. Il y a certains choix terminologiques un peu costaud pour des enfants si jeunes. A part certains enfants concernés, je pense que ça peut perdre les enfants ce qui est un peu dommage pour un album qui mériterait d’être mis entre toutes les mains. Pour vous donner une idée, je vous mets un petit exemple de ce qui me laisse perplexe : « système sensoriel hypersensible ». Mis à part les quelques choix de vocabulaire un peu trop complexe, qui peuvent être adaptés au besoin par l’adulte au moment de la lecture, c’est un album réussi autour d’une thématique et d’un message important. Merci voyageur édition pour la découverte de cet album.