Mes poèmes ont une prédilection pour l’aspect sordide de la chambre à coucher, les draps souillés. J’écris sur le sexe parce que je ne sais pas écrire sur l’amour, et ce n’est pas faute d’avoir essayé. J’ai fait des tentatives, nombreuses, mais chaque fois j’ai l’impression de me trouver face à un mur lisse qui se referme sur moi et ne m’inspire qu’un sentiment de panique.