La contagion allait à la vitesse de l’éclair. Les déportés ont dû vivre des drames terribles. Ceux qui n’avaient pas la peste en arrivant pouvaient être sûrs à cent pour cent d’être contaminés une fois sur place. Personne ne revenait vivant de cette île ! À l’époque, on entendait réellement les cris d’épouvante des mourants résonner dans toute la lagune !