Birgitte Lorentzen

Je donnerais n'importe quoi pour être un type normal. Pour le devenir, il faut que je me tienne à distance des morts. Que j'évite de parler d'eux. C'est ma seule chance d'échapper aux médicaments et aux diagnostics de schizophrénie, psychose, hyperactivité, syndrome d'Asperger, trouble schizoïde, halluciantions, etc.

C'est finalement au plus fort de l'hiver que j'ai compris qu'il existait en moi un invincible printemps.

Il sourit et dévoile sa rangée de perles... Je ne sais pas ce qui me prend, mais je me hisse sur la pointe des pieds et je passe la pointe de ma langue sur ses dents. Elles sont toutes lisses. C'est agréable.
Il me regarde en me demandant :
- Amor vincit omnia ?
Je lui fais signe que oui.
Et nous nous mettons à courir.

"Il n'y a que deux façons de vivre sa vie : l'une en faisant comme si rien n'était un miracle, l'autre en faisant comme si tout était un miracle."

L'opération avait pour nom "Opération Carthage"...
- Carthage? Ca me fait penser à cette citation de Canton L'ancien, 150 av.J.C.:"Carthage doit être détruite..."
Il sourit, amusé, avant de répéter, en latin s'il vous plaît:
- Ceterum censeo Carthaginem esse delendam.

"J'ai espérée toute la journée qu'un hibou m'apporterait un courrier en provenance de Poudlard"

D'un coeur léger tu emprunteras
Des chemins que dieu seul connait,
Même si le but tu n'atteindras
Qu'à la fin du monde!

Ne crains pas la puissance des ténèbres,
La lumière des étoiles brillera!
Avec un "Notre Père sur les lèvres
Jamais la peur tu n'éprouveras!

Lutte pour tout ce que tu chéris,
Meurs si tel en est le prix.
La vie n'est pas difficile alors,
Pas plus que ne l'est la mort.

c'est finalement au plus de l'hiver que j'ai compris qu'il existait en moi un invincible printemps :)

carpe diem
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amor vincit omnia

D'un coeur léger tu emprunteras
Des chemins que dieu seul connait,
Même si le but tu n'atteindras
Qu'à la fin du monde!

Ne crains pas la puissance des ténèbres,
La lumière des étoiles brillera!
Avec un "Notre Père sur les lèvres
Jamais la peur tu n'éprouveras!

Lutte pour tout ce que tu chéris,
Meurs si tel en est le prix.
La vie n'est pas difficile alors,
Pas plus que ne l'est la mort.

Alors tu restes là et tes pensées n'arrêtent pas de tourner dans ta tête. Tu passes de l'une à l'autre et ça devient de plus en plus glauque : les bombes, la guerre, le terrorisme, le réchauffement climatique, la fonte des icebergs, la mort des ours polaires, les tsunamis, les tumeurs cancéreuses...Oui, on n'a que l'embarras du choix.

"C'est finalement au plus fort de l'hiver que j'ai compris qu'il existait en moi un invincible printemps."

C'est au plus profond de l'hiver que j'ai trouvé en moi un invincible printemps.

C'est difficile de s'emporter franchement contre quelqu'un qui a l'air aussi perdu. On ne frappe pas un ennemi à terre...

"L'amitié est une âme en deux corps" (Aristote)

carpe diem

C'était un livre passionnant qui nous fait s'envoler dans un monde ou les morts demeurent toujours parmi nous pour nous emmener encore plus loin que notre imagination!!!!!!!!!!!!
Je vous le conseil si vous voulez du suspens, de inattendu, de l'amour et de la magie!
Gabrielle

"Il n'y a que deux façons de vivre sa vie : l'une en faisant comme si rien n'était un miracle, l'autre en faisant comme si tout était un miracle."

Je ne me suis jamais intéressée au vin, mais j’adore le prosecco d’oncle Toni et surtout cette sensation de légèreté que procurent ses fines bulles. Un verre de prosecco suffît pour me mettre de bonne humeur.

Les puces étaient porteuses de la bactérie de la peste, mais elles-mêmes étaient immunisées. Elles vivaient sur des rats, du sang desquels elles se nourrissaient. Très présents sur les bateaux, ces rats se sont répandus dans le monde entier. Venise était déjà à l’époque une grande ville portuaire internationale, c’est pourquoi elle a été si durement touchée. Les rats malades recherchaient la chaleur, et se glissaient facilement dans les lits de paille où dormaient les hommes. Une seule morsure de puce porteuse de la peste suffisait pour tomber malade et être de ce fait condamné.