Les images, en noir et blanc, montraient toutes sortes de
situations où l'arbre avait subi “la main de l'homme”, ne
servant que de support à divers éléments : clous, plaques de
métal faïencé, grilles et grillages, fils électriques, anneaux,
crochets, vis, pointes, barres de fer, panneaux de direction, d'information, d'interdiction... Et l'on voyait comment la
nature avait peu à peu “repris ses droits”, comment le végétal avait patiemment emporté la victoire sur le fer.
Certaines pièces de métal, déjà rongées de rouille,
semblaient littéralement avalées, dévorées, englouties par
les arbres.