Balzac
(...)
Pour se racheter du joug
De l'horrible usurier
Il doit disparaître pour un rien
Et laisser le fil se défaire.
A quoi bon avoir emprunté
Paris, sa foule, sa bourse,
Et le champ et le naturel
des fêtes campagnardes
A l'ombre des saules ?
Il rêve de liberté, comme un serviteur,
Comme rêve de retraite le vieux comptable,
Et du poids dans ce poing,
Autant que le marteau du maçon.
Quand, enfin, la sueur essuyée
Et séparée la fane du café
Se protégera-t-il des soucis
Derrière le sixième chapitre de Matthieu ?
1927