Il avait côtoyé les laissés-pour-compte, les seuls qui lui avaient accordé quelque intérêt, et il s'était convaincu que la vie n'était qu'une immense farce où la chance ne touchait de son doigt hasardeux qu'une petite partie d'élus, dont la plupart s'enferrait dans leur égoïsme. En clair, il n'aimait pas les gens heureux.