Certes oui, monsieur. D'ordinaire, je partage l'avis émis par M. Nicholson, à savoir qu'un auteur doit rester libre de ses propos, et que s'il est dans l'erreur, celle-ci sera corrigée par d'autres écrits qui le contrediront. Telle est la nature intrinsèque de la controverse, et la controverse se trouve au coeur même de la vie intellectuelle.