J'ai bien conscience que le pessimisme fait essentiellement le jeu de ceux qui souhaitent que rien ne change, et aide au maintien de l'ordre. La peur à toujours été, et sera toujours, le meilleur instrument de domination. J'y songe souvent en marchant : ceux qui ne cessent de déplorer l'état du monde servent les intérêts de ceux qui le rendent déplorables.(p.49/50)