On passe trop de temps à juger les autres, à tenter de décortiquer leurs gestes et à imaginer une explication de leurs paroles.
A quoi cela sert-il, si ce n’est à s’épuiser dans un questionnement stérile ?
Il est nécessaire d’accepter que notre ressenti soit éternellement biaisé par le prisme de notre propre histoire.
Il serait plus sincère d’admettre que chaque personne est une énigme et que l’incertitude est une règle.