Les nuits lessivent Gustave, qui met la journée à s'en relever (...)Il n'est absolument pas question d'écrire, mais lire, un peu, pourquoi pas. Il retombe sur des poèmes d'Emily Dickinson, un petit recueil acheté par hasard, il y a longtemps. Un siècle plus tôt, l'Américaine menait une vie semblable à la sienne, recluse dans une maison de campagne, vivant avec sa soeur et compilant son herbier. Elle et lui auraient eu des choses à se dire. (p. 212)