Peut-être que les larmes devraient couler. Peut-être qu'elles devraient s'arracher les cheveux de douleur. On pourrait s'attendre à un moment mélodramatique exprimant leur deuil. Mais l'alcoolisme ne fonctionne pas comme ça. Il ne choque pas, il ne surprend pas. Il préfère décaper l'amour jusqu'à le mettre à vif, l'égratigner pendant une année qui semble durer bien plus qu'une vie.