« N’est ce pas le propre des idées noires ? Elles ne se voient pas de l’extérieur, elles n’existent qu’en nous, dans ce cagibi obscur, fermé par une lourde porte, qui peut contenir à la fois des pulsions suicidaires et le mal qui me ronge. Ce doit être là que mon père a rangé le souvenir de ma mère. »
https://julitlesmots.com/2018/09/23/un-livre-un-extrait-le-journal-de-ma-disparition-de-camilla-grebe/