Certes, elle allait tuer un homme, mais en même temps libérer une femme. La somme de ses actes serait positive. Et ensuite quelqu’un la délivrerait, elle. Elle jouissait de cette impression de liberté : quel plaisir de rouler sans personne pour commenter sa conduite. Jacob ne la laissait prendre le volant que quand il était fatigué. Au début, il était même opposé à ce qu’elle passe son permis.