[…] cette vieille maison avec tous ses défauts semblait plus en accord avec son état d’esprit. Elle se reconnaissait dans le toit et ses fuites d’eau, dans la chaudière qu’il fallait régulièrement redémarrer à grands coups de pied et dans les fenêtres à courant d’air qui interdisaient de poser une bougie sur leur bord sans qu’elle soit soufflée. Dans son cœur aussi il y avait des courants d’air et des fuites d’eau. Et les bougies qu’elle essayait d’allumer étaient implacablement éteintes. (Ebba)