La femme eut désormais dans l’art sa chapelle. Elle cessa d’être l’Eve nue, pour devenir l’Ève habillée; elle fut l'héroïne, l'idole et la victime; elle fut toute la femme quelle était dans la vie. Elle ne se montra pas ingrate d’ailleurs : elle, que son peintre avait remise en possession du royaume des cœurs, le récompensa en le menant vers la gloire.