Pour le duc d’Orléans, c’était l’avanie de trop. Il avait tout accepté, cette cavalcade ridicule à travers les rues dépavées de Paris, l’invasion de son palais par une foule beuglante, des poignées de main distribuées à la lie du peuple, les gestes de camaraderie indignes d’un banquier dont son père n’aurait pas voulu pour créancier, la veulerie de députés prêts à se prosterner devant le roi ou l’émeute selon leur puissance de feu ....