En soupirant, elle repassa son chemisier. Puis elle ouvrit les porte de son dressing et admira les étagères remplies de piles de débardeurs parfaitement pliés, tous plus jolis et vaporeux les uns que les autres.
- Quel gachis ! murmura-t-elle. Je ne pourrais plus jamais les mettre. Il faut que je retourne m'acheter des tee-shirts avec des manches, où le dos est bien ouvert.