Si bienveillant et empressé que puisse être l’éros de la femme, une fois chevauchée par son animus elle ne se laissera ébranler par aucune logique au monde. Dans de nombreux cas l’homme a le sentiment (et il n’a pas tout à fait tort) que seuls la séduction, une raclée ou le viol auraient la force de conviction nécessaire.