La justice de la guerre, lorsqu’elle est rapportée à la justa causa, comporte toujours à l’état latent une amorce de discrimination de l’adversaire injuste […] l’ennemi devient simple criminel, et le reste, à savoir la privation des droits de l’adversaire et le pillage de ses biens, c’est-à-dire la destruction du concept d’ennemi qui formellement présuppose toujours un justis holis, s’ensuit pratiquement tout seul.