Les représentations sensibles évidentes qui nous parviennent au moment de l’ exécution sont plus vivaces que celles que l’ on s’ est fixées auparavant au terme d’ une mûre réflexion. Mais elles ne sont que la première apparence des choses, et celle-ci ne correspond, comme nous le savons, que rarement de façon exacte à l’ essence. On est donc en danger de sacrifier la mûre réflexion à la première apparence.