Marie Peyrat n'aimait pas les femmes; elles n'étaient jamais invitées aux déjeuners parisiens. Elle parlait comme un homme, ne craignant pas les mots crus qu'on pardonne aux grandes dames et ne s'offusquant point des anecdotes poivrées, mais ses fougues, ses partis-pris et ses outrances relevaient de l'impulsion féminine. Elle ne permettait pas qu'on le lui dit; Joseph Reinachseul osait le faire.