— Et maintenant, on va dans un bar clandestin près d’Alonso Martínez, propose Marta. Ils ne ferment pas de la nuit et j’ai le mot de passe pour entrer.
— Maintenant, on rentre à la maison, c’est l’heure, répond Susana. Et elle met tant de conviction dans son affirmation que les tentatives de ses amies pour la convaincre de continuer la fête jusqu’au bout de la nuit sont plus symboliques que réelles