– Olivia, pour l’amour de Dieu ! Programmer ton propre meurtre, mais quelle drôle d’idée ! Et puis, qui voudrait te tuer ? Tout le monde t’aime. Je sais que tu adores te donner des airs de tireuse de cartes et de prophétesse, mais là, malgré tous tes efforts, tu feras chou blanc parce que personne ne sait quand il va mourir. C’est une des rares consolations que nous ayons dans cette vallée de larmes. « Veillez donc, car nul ne connaît ni le jour ni l’heure. »