Une évasion somme toute poétique qui le propulse à l’âge des rêves et des illusions, desquels on déchante inexorablement en grandissant.
Enfant, il ne se nourrissait déjà plus de chimères ; il savait que sa mère, très affaiblie par la maladie, allait bientôt le quitter pour faire l’ultime voyage dont on ne revient jamais.