Personne ne semblait se soucier du calvaire de ces malheureuses bêtes, destinées à être mangées. À leur vue, Leo s’est mis à pleurer de manière incontrôlable et a refusé de s’éloigner. Ses parents lui ont alors acheté deux lapins, qu’il a ramenés à l’appartement. Il était fou de ces animaux, il adorait tenir leurs petits corps doux dans ses bras et était reconnaissant qu’on lui ait permis de les soustraire à leur cruel destin.