Le comportement paradoxal de Leo me déroute. Il parle sans tabou de ses parents, en particulier de Veronica. En revanche, dès qu’on aborde le collège, il se ferme comme une huître. Peut-être est-ce normal quand il s’agit des copains, ou plutôt de l’absence de copains, sujet sensible pour un garçon de son âge.