D’une main de plus en plus assurée, il fouette son postérieur jusqu’à y laisser les marques de ses doigts. Sa chair est tout humide, elle est prête, il l’attrape au niveau des hanches et s’enfonce en elle, là où il sera au plus étroit. Les trois billets de vingt euros glissés sous le réveil de la table de nuit lui rappellent leur seul lien, un lien consenti qui le libère de toi, Adèle, Adèle… Non, surtout, ne pas penser à Adèle. Penser à ce cul interdit, rejoint dans la nuit, en cachette, ce cul anonyme qui s’ouvre, se donne et il n’y a rien d’intime.