Plus d'un millier de familles avaient été dépossédées de leurs terres dans les années 30 pour la création du parc, et les fédéraux avaient envoyé une bande d'étrangers arrogants pour gérer la région, comme une armée d'occupation. Les gens du coin avaient accumulé soixante-quinze ans de haine et de méfiance envers les envahisseurs. Il n'y avait aucune urgence à les mêler à cette affaire.
Le mal coulerait longtemps encore dans la montagne. (P.147)