Désormais, elles vivaient en ville et travaillaient pour gagner leur vie, tout en étant censées chaque soir préparer un bon repas pour leur mari. Le terrain était prêt pour l'instauration de l'un des plus grands mythes du XXe siècle, celui de la parfaite ménagère, qui fut le produit non pas de l'imagination d'un peintre, mais d'un art plus puissant encore : la publicité.