Je croyais que la vie en pension se résumerait à un bon bol de chocolat chaud avant d'aller au lit et à un match de hockey par les froides matinées d'hiver. Je me fourrais bien le doigt dans l'oeil. J'aurais dû me douter que la cruauté des filles est amplifiée ici, du fait de vivre ensemble vingt-quatre heures sur vingt-quatre, sept jours sur sept, à des centaines de kilomètres de chez elles. Tout semble plus concentré [...].
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