À La Havane, l’heure est plus que jamais à la fête. Rhum, sexe, dollars, musique, la capitale cubaine n’est qu’une monstrueuse machine à plaisir. La ville vit au rythme de la rumba et du mambo, on y danse frénétiquement, on n’y dessoûle guère, on y perd des montagnes de dollars qui passent des tapis verts à l’escarcelle des parrains.
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