Des qu'une route nous paraît être la bonne, il est bon de s' y engager ; nous ne devons pas craindre de perdre ce qui nous aurait amenés à tout perdre si nous n'avions pas agi de la sorte. La transition est toujours douloureuse, mais au moins amène-t-elle une ouverture possible. Un présent qui nous fait souffrir ne laisse entrevoir que de nouvelles souffrances.