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Citation de lalahat


Les habitants de la maison traitent la Loire comme une divinité paisible et féroce à ses heures.
Un fleuve qu'on connaît n'est pas une chose, mais une personne d'un genre singulier. Cette personne n'a ni queue ni tête, mais un corps liquide, avec un squelette de sable, des os pointus au fond, une peau qui frissonne, une pensée sournoise. Cela a des humeurs, des ris et des pleurs, des chansons ; cela a le cafard ou bien la joie au cœur. Cela, selon les cas, vous porte ou vous enfonce.
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