- On ne sait pas vraiment ce que pensent les enfants. Alice et Antoine sont heureux depuis que nous avons ouvert les chambres d'hôtes. Ils ne supportaient pas de nous voir paysans. Et comme ton fils, ils ne montent pas très souvent. Mais je ne suis pas certaine qu'ils soient si différents de ce que nous étions à vingt ans. Nous n'avions pas envie de nous laisser enfermer dans les vieilles habitudes de nos parents. C'est tout pareil pour eux. Et on peut se réjouir qu'ils ne soient pas pendus à nos basques... C'est ce que nous voulions, non, les rendre libres ?