Je me demande comment il en ira de nos propres enfants, dont nous intimons l'ordre de nous laisser tranquille, puisque nous sommes sans cesse occupés. C'est bien ce que nous leur disons, n'est-ce-pas ? "Laissez-nous tranquilles, nous avons à faire" en lieu est place de "Tiens-toi droit, dis bonjour et couvre-toi". Qu'adviendra-t-il d'eux lorsque leurs conjoints disparaîtront ? Qui trouveront-ils en face d'eux ? Seront-ils à votre place et à la mienne, affalés sur leur chaise respective ?