La nature dans sa vastitude renvoie l'homme à sa vie minuscule, au bord de l'inanité, à sa précaire existence prête à sa noyer dans l'infini. [...] cette sérénité comtemplative qui, parfois, culmine dans la joie de disparaître dans la vision de ces choses d'autant plus belles qu'elles se passent de nous, ne se soucient pas de nous, et dont la beauté est peut-être faite de ce pouvoir qu'elles ont de nous anéantir.