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Citation de Denis3


A Périgeux, jusqu'à la fin des années 1960, les portes des maisons n'étaient jamais fermées à clef durant la journée. Les voitures ne l'étaient pas non plus la nuit. Je n'ai pas le souvenir d'un cambiolage dans le quartier ni de conflits de voisinage. Les soirs d'été les enfants jouaient au jokari dans notre rue qui n'était guère passante.Tout le monde se parlait. Sans être familières, les relations y ètaient paisibles et cordiales. On échangeait un panier de framboises du jardin contre un bouquet de roses multicolores.

(p.17- je rève ?).
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