Les contours fixes de ce monde nous les avons laissés à terre. Et on va la regagner enfin, la splendeur brûlante de nos vies. Nous sommes dans le souffle, qui jamais ne s'arrête. La bouche du monde s'est refermée sur nous. Et l'on va donner nos forces jusqu'à en tomber mort peut-être.
Pour nous la volonté de l'exténuement.