Je suis un libertaire.
Toujours ces chagrins premiers qui vous font, vous défont, pense Rosalinde. Les rêves brisés, les espoirs saccagés, tout ce en quoi l'on croyait, que l'on aimait, le beau le puissant la flamme, tout cela renvoyé au chaos, au rebut, au broyeur d'un camion d'ordures. (p. 112)