Le cœur battant, je fixe, incrédule, l’objet de ma frayeur : un monstrueux chat roux, gros comme un pitt-bull, toutes griffes dehors et le dos en position viaduc. Les yeux exorbités d’un tueur fou sorti de prison qui n’aurait pas eu sa dose journalière de calmants, la chose vient de me cracher dessus comme un putain de crotale.