Ses dernières grandes joies, il les a connues en « inventant » Paul Smaïl, géniale supercherie digne de la jouissance de Gary fabriquant Émile Ajar : toute la critique s’est retournée comme un gant pour l’encenser, ses amis marocains lui désignaient fièrement dans les librairies de Casablanca les piles de ce nouveau talent inconnu, il s’est amusé pendant trois ans comme un fou…