Arden avait raison, je détestais ce genre de soirée. La joie y était trop forcée. Les rires factices. Le sexe facile. Les nanas se voyaient comme des actrices dans un film, à la fois gaies et sexy en train d’onduler sur la piste, verre à la main. Elles étaient juste pathétiques, et dans quelques grammes d’alcool, leurs mines se feraient pâteuses, leurs regards éteints et leurs rires criards. Fantasme vs. réalité.