À présent, j'appréciais la profondeur de la nuit et la douce clarté de l'astre d'argent, qui seules arrivaient à m'apaiser quelque peu.
C'est ainsi que je vis pour la première fois deux yeux jaunes luisant à la lisière de la forêt.
Et, nuit après nuit, la créature semblait imperceptiblement se rapprocher.
Je ne vivais plus que pour cet instant, attendant avec impatience notre confrontation, le fusil à portée de main.