Ce cœur n’a pas souvent peur, il ne se rend pas bien compte, il bat et il commande aux mains de tuer. Parce que c’est pour la Patrie. Parce qu’il se démène pour que tu ne sois jamais là, une nuit, à sa place. A pleurer, à claquer des dents, à appeler maman. Parce que mon cœur chiale aussi. Et le pire est qu’il n’en a même pas honte.