Alexandra est devenue plus que l'objet de l'opé. J'ai besoin d'entendre sa voix, son rire tonitruant quand elle gagne une partie de cartes, de sentir ses pieds froids lorsqu'elle se couche contre moi dans le lit. De caresser sa peau douce, de dévorer ses lèvres pulpeuses. De l'enlacer et de ressentir un manque infini en la lâchant.