Il y a les cons dits gentils, ceux qui s'ignorent, qui n'ont pas conscience de leur état, mais qui ne distribuent pas leur connerie à tour de bras. Mais ceux que j'abhorre par-dessus tout, ce sont les cons méchants irrécupérables, les CMI comme j'aime à les appeler. D’aussi loin que je me souvienne, ils ont toujours provoqué en moi des pulsions meurtrières. Je ne plaisante pas, c'est une réalité. À chaque fois que j'en croise un, je me dis qu'il mériterait de disparaître, pour le bien de tous. Et je le pense, à tel point que j’échafaude souvent des plans macabres, qu'évidemment je ne mets jamais en œuvre, par peur, par manque de courage, par manque de couilles pour dire les choses clairement.