De cette nuit-là, il conserve cette cicatrice en zigzag sur son front.
Mais ce n’est pas la seule chose qu’il garde en lui.
Enfouie dans son crâne.
La particularité qui le rend différent. Plus intelligent. Bien supérieur à tous ces gens, oui.
Et ce besoin.
Ce besoin dévorant qui le hante. Qui guide chacun de ses gestes. Qui le pousse sans cesse à braver l’impossible. À vivre ce que nul autre humain ne peut vivre. Et à s’en sortir, à chaque fois, plus fort encore.