En admirant l’architecture de ces lieux, avec leurs grandes verrières, en découvrant toutes les maisons-ateliers si belles de cette impasse parisienne, ancien entrepôt de pommes devenu un musée à ciel ouvert, en marchant dans la nuit, je me suis dit que peut-être le 168, rue de Crimée allait avoir un destin humain, artistique et convivial aussi fort. Qu’il aurait lui aussi sa propre histoire en tout cas. Et que cette histoire serait unique.