Il y a dix siècle, j’ai sacrifié mon humanité pour sceller un marché. Il existe des forces dans ce monde si néfastes qu’elles n’ont pas de nom, si absolues qu’aucune image ne peut en rendre compte. Je suis entré en contact avec grâce à un canal que j’ai ouvert par le sang de ma famille. […] Et ces forces ont répondu, non avec des mots, mais par ma métamorphose. J’ai perdu ma condition d’homme pour devenir autre chose, une créature aux instincts et aux appétits subordonnés à leur ténébreuse volonté. C’est par ce contrat que j’ai survécu.